GUERRIER ATYPIQUE​

POLYVALENCE OPÉRATIONNELLE

Parcours

1.SOCIÉTÉS

De 1990 à 2014, il dirigera successivement les sociétés et associations suivantes :

SHAN TPM&S

Il crée en 1990 la société anonyme SHAN TPM&S, sous la forme d’une chaîne d’écoles de kung-fu disséminées partout en Belgique, destinées à former, assisté par les premiers Maîtres qu’il avait formés, tout public désirant s’initier au combat de survie et les futurs compétiteurs nationaux.

Le logo de la société SHAN représente une montagne, mais est bien plus qu’un simple symbole, le mot SHAN signifie également montagne qui constitue le fondement philosophique de la maîtrise du combat.

SHAN SECURITY

Il transforme SHAN s.a. en 1995 en SHAN SECURITY, une école newlook en Europe pour les forces de l’ordre et les gardes du corps.

 

Pour ses activités locales, la société s’identifie en tant que SHAN SECURITY, et pour ses marchés extérieurs la société se nomme contractuellement « SHAN Europe » ou « SHAN international », elle se voit décerner en 12 janvier 1995 un Certificat de Reconnaissance du Colorado International Trade Office par le Gouverneur Roy RÖMER et le Directeur Morgan SMITH.

 

La société SHAN est une école de haut niveau fondée dans la périphérie de Bruxelles en Belgique pour les États ou les services officiels, dont les cours sont principalement destinés aux policiers et gardes du corps professionnels, unique en Europe à deux pas de Bruxelles.

L’école SHAN est newlook, avec une infrastructure de 900 m², constituée d’un énorme plateau de cinéma modulable en différentes scènes de : bar, hôtel, discothèque, carlingue d’avion, etc. permettant de s’entraîner aux entrées tactiques lentes et rapides (slow / fast entries), entrées en rappel, pénétrations avec véhicules, assauts de drug house.

La société SHAN SECURITY devient la première en Europe à proposer des formations « SWAT training » en collaboration avec les USA uniquement pour « police units & official agencies ».

ACT-TAC

En 1999 il crée la société ACT-TAC ltd (Anti and Counter Terrorism – Training, Assistance, Consulting) à Cape-Town en Afrique du Sud pour former les services officiels, ainsi que les professionnels de l’anti et du contre-terrorisme en Afrique.

PC-Labo / Compushop

En 2001, il dirige en cogestion deux sociétés informatiques à Bruxelles, PC-Labo chargée de travaux techniques (mise à jour, réparation, conception) dans laquelle il supervise la gestion des ressources humaines et le contrôle de qualité, et Compushop chargée des ventes en gros et à l’export, dans laquelle il gère les aspects juridiques.

Global&Center

En 2002, il crée Global&Center sprl à Welkenraedt pour offrir des services de consultance informatique, réseaux et serveurs, aux entreprises financières, qui nécessitent un certain niveau de sécurité.

11 AIDE

En 2003, il fonde et préside l’ONG (Organisation Non gouvernementale) 11AIDE à Fribourg, en Suisse, pour apporter une aide interactive au développement et à l’émancipation des populations congolaises en RDC.

11 STOP

En 2003, il fonde et préside l’ONG 11STOP à Fribourg en Suisse pour lutter contre le terrorisme par l’organisation de symposium, foire, formation, séminaire, conférence destinés à éduquer et informer les États, sociétés et professionnels.

ACT-CAR

En 2004, il établit une succursale de la société ACT-TAC ltd à Roubaix en France pour former les services et les professionnels, de l’antiterrorisme et du contre-terrorisme, en Europe.

STARIMEX

En 2007, il co-fonde et préside la société anonyme STARIMEX à Fribourg en Suisse pour offrir des prestations militaires spéciales et sécuritaires de pointe en Afrique préfinancée par des collaborateurs géoéconomiques ad hoc triés sur le volet.

Free-lance

À partir de 2010, il continuera d’opérer seul en Afrique, sous statut de free-lance pour différents gouvernements, agences nationales, multinationales et oppositions politiques (dont le mouvement politico-militaire Révolution Justice, R-J en sigle) jusqu’en avril 2014.

2.INSTRUCTIONS

Forces de l’ordre

Dès 1989, il commence sa carrière d’instructeur de forces de l’ordre et d’unités spéciales en Europe, et rapidement il sera amené à entraîner plusieurs services réputés très secrets en Europe; ces premiers succès font de lui un instructeur très coté auprès des gouvernements africains en difficultés face aux violences politiques, dans ce cadre spécifique il s’est forgé depuis 1989 la notoriété d’un instructeur spécialisé en protection rapprochée pour l’Afrique.

En revenant d’Afrique, il développe la méthode de tir « Side-Car » et va la présenter aux USA, où il expose et enseigne Side-Car à plusieurs unités de renom : FBI, Nashville Airport SWAT team ; et plus tard en Europe : GSG9, SEK.

Après son énorme succès auprès du FBI, il revient avec le titre de « Chief-Instructor » en Belgique pour dispenser sa première formation de « Side-Car » durant un stage de 2 jours, durant lesquels les « flics » de Bruxelles furent à l’école de la maîtrise de soi pendant 2 jours de super-entraînement pour ces policiers bruxellois originaires de Molenbeek, Saint-Josse et Schaerbeek; y ont participé 6 moniteurs et un aide-moniteur de tir qui se sont vu remettre les pendules à l’heure et revoir leurs manipulations fondamentales, car dans le cadre de « Side-Car » il a mis à jour tout l’entraînement de la procédure de sécurisation des armes à feu et revu et reformulé la théorie de la mise hors de combat de l’adversaire, ces deux cours de base ont été très appréciés des policiers.

Il forma par la suite 30 policiers pendant 6 mois à Bruxelles afin de les dégrossir et leur faire acquérir sur le plan technique et tactique des bases robustes, suivis de 1 semaine de test intensif que n’ont réussi que sept policiers avant de partir aux USA pendant 3 semaines avec lui comme chef de délégation dans le cadre d’une formation mixte effectuée entre lui-même et la Police du Columbia Disdrict Washington pour suivre un cours opérationnel de « SWAT » auprès de l’ERT de la Police de Washington.

Il a ensuite commencé à se spécialiser dans les techniques SWAT de tir en mouvement, pour lesquelles il a développé plusieurs cours très détaillés et scientifiques.

En parallèle, il développa un programme complet pour la protection rapprochée de haut niveau, le « Diplomatic CP course » qui a connu un grand succès.

Ce programme de SHAN SECURITY est à cause de son appellation une formation exclusive de longue durée (460 heures) qui se déroule en Europe et aux USA, car le « Diplomatic Close Protection course » n’est accessible que sur concours de sélection.

La première formation complémentaire du « Diplomatic CP course » est le « OPAR-ASAX course », une formation centrée sur l’escorte mobile, y compris pour l’Afrique.

La deuxième formation complémentaire du « Diplomatic CP course » est le « CAT course », une formation qui traite de l’anti-sniping vs contre-sniping en pratique en incluant un plan en 7 points (P-D-H-A-D-T-C) qui permet de lutter contre cette menace.

Une troisième formation complémentaire du « Diplomatic CP course » concerne l’utilisation du pistolet-mitrailleur en protection rapprochée, incontournable pour acquérir la dominance tactique.

Il développera aussi un programme de formation en protection rapprochée de haut niveau pour les femmes, le « Woman Close Protection course » connaîtra également un certain engouement.

Professionnels et sociétés

Après, avoir élaboré le programme officiel de formation à « Side-Car » pour professionnels, qu’il avait conçu, comme une méthode de tir intégrée incluant beaucoup plus que la simple action de tirer, il créa en partenariat une école de tir accrédité aux USA pour enseigner « Side-Car » qui forma 350 professionnels aux USA durant les 6 premiers mois.

Idem, pour les formations de protection rapprochée, pour lesquelles en Europe, il conçut chez SHAN les cours les plus complets et les plus poussés; ses différents cours furent approuvés aux USA, parmi lesquels il y a un cours de longue durée « International Close Protection course », de 3 mois avec 532 heures effectives en Belgique et aux USA, incluant les visites du Centre Spatial de la NASA en Alabama et de l’OPRYLAND hôtel à Nashville.

Sa nouvelle approche d’entraînement professionnel en protection rapprochée, incluant les modules tel que la gestion du VIP, le passage dans une foule, la gestion d’un photographe, la gestion de porteur de pancarte et ses étude et formation à l’anticipation l’accréditèrent d’une expertise en passage de foule.

Son éthique de la protection rapprochée et des gardes du corps ainsi que ses techniques de gestion verbale et de conduite comportementale lui permirent de rendre ses lettres de noblesse à cette profession de loyauté et d’honneur.

3.PROTECTION RAPPROCHÉE

En 1985, il a débuté ses premières missions de protection rapprochée avec des vedettes du show-biz local avant de passer 5 ans plus tard à des missions plus exigeantes techniquement en devenant garde du corps de personnalités belges, de personnalités africaines et cette fois-ci de vedettes du show-biz international

Ses principales missions de protection rapprochée, il les a effectuées d’abord en Angola dans le cadre d’escorte de diamantaires et d’hommes d’affaires, et ensuite, dans le triangle régional : Congo-Brazzaville, Rwanda, Zaïre, dans le cadre de la protection rapprochée en milieu hostile ou de zone de guerre d’avocat et d’investigateur chargés d’enquêter sur le dossier d’inculpation des responsables du génocide au Rwanda.

Durant le Concours Reine Élisabeth – Année 1996 / 1997 il a assuré avec son équipe la protection physique et transport des violons Stradivarius.

4.INTELLIGENCE & SPECOPS

1997 Mission clandestine à Kinshasa en RDC Résistance congolaise à l’Occupation rwandaise et à la dictature de LDK (formation, assistance, coaching)

En 1997, à Kinshasa en RDC, le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama est recruté par un conseil d’anciens responsables de sensibilité lumumbiste et muléliste pour former et conseiller un groupe de résistance interne composé de membres du renseignement, des forces de l’ordre, de militaires et de responsables religieux.

La mission consista à amener ces patriotes à se structurer et s’organiser, afin d’obtenir une capacité opérationnelle satisfaisante en vue de :

– pouvoir planifier de multiples actions coordonnées pour désorganiser et affaiblir l’occupation militaire de la capitale et des principales villes par les forces armées rwandaises ;

– pouvoir neutraliser les membres des services de renseignement rwandais, qui avaient noyauté tous organes décisionnels politiques, les institutions stratégiques, et les différents États-majors militaires et Directions sécuritaires de la RDC pour permettre et contrôler la dérive dictatoriale du Président Laurent Désiré KABILA qui avait repris à son compte les mesures discriminatoires et les pratiques répressives de son prédécesseur le feu Président MOBUTU Sese Seko, ainsi que ses pratiques de spoliation des ressources minières stratégiques.

2006 Mission spéciale Dossier : crimes et tortures à la prison de Makala commandité par le Chef d’État en RDC (investigation et instruction juridique)

Le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama a investigué sur demande officielle d’anciens militaires congolais ayant été incarcérés et torturés, voire éliminés, par les services présidentiels sur bases de fausses accusations sécuritaires et d’accusations de délits d’opinion ; suite à plusieurs enquêtes et de multiples auditions, un rapport détaillé a été envoyé par un avocat belge mandaté à l’ancien Procureur de la CPI Luis MORENO OCAMPO, qui a approuvé le dossier pour examen en première lecture.

Une conférence de presse a été organisée à Fribourg en Suisse afin d’exposer le volume et la gravité des plaintes formulées par les victimes.

2007 Opération spéciale au Congo-Brazzaville Sécurisation et reprise du processus de paix (formation, logistique, planning)

De 2007 à 2008 au Congo-Brazzaville, le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama a, lors d’une opération spéciale de soutien à un processus de paix en berne (le processus des « Accords de paix et de la réparation des séquelles de guerre »), formé la protection rapprochée et instruit le service de renseignement du Révérend Pasteur Frédéric NTUMI, pendant plusieurs mois dans une zone de conflit de basse intensité dans le sud du Congo-Brazzaville, afin de permettre sa sécurisation réelle (condition prioritaire) avant sa prise de fonction officielle en tant que Ministre d’État attaché à la Présidence dans la capitale.

2008 Opération spéciale au Nord-Kivu et au Sud-Kivu en RDC Investigation sur les viols de masse instrumentalisés (reportage, formation, organisation, assistance juridique)

Fin 2008 en RDC, le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama s’indigne des viols non stoppés et impunis en RDC, malgré d’innombrables dénonciations par des États, des Institutions Internationales, des ONG, des médias, des populations, des médecins, etc. Il décide alors de consacrer toutes ses économies pour se rendre dans la Province du Sud-Kivu afin de former les futures victimes potentielles au combat de survie et afin d’aider juridiquement les femmes violées. Une fois les préparatifs et le planning terminés, il lance avec une équipe restreinte une opération spéciale d’investigation clandestine, soutenue par l’ONG 11AIDE, sur les viols de masse utilisés comme arme de guerre, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Investigation qui durera quelques semaines avant d’être fait prisonniers en pleine forêt à Katembele par un groupe militaire (illégal et sans ordre de mission), qui les a ensuite torturés et mutilés pendant plusieurs jours dans la jungle, avant de les acheminer à l’Auditorat Militaire de Kisangani pour quelques jours de tortures supplémentaires, et finalement de les transférer dans un cachot secret de l’ANR à Kinshasa.

Ces membres de l’ONG 11AIDE seront retenus par le Général MUNKUTU dans le cachot de l’ANR pendant des mois avant de les transférer à la prison de Makala de Kinshasa pour avoir droit à un procès équitable.

2009 Opération spéciale au Sud-Kivu en RDC Renforcement capacitaire de la Résistance « Mai-mai » face à l’agression rwandaise (formation, intelligence, stratégie)

En 2009 le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama soutient les résistants nationalistes Mai-mai en RDC, afin de les aider à combattre et à repousser, les différentes occupations par des forces armées étrangères et par des milices soutenues par les pays voisins, poursuivant toutes le même but, c-à-d l’exploitation illégale des ressources minières telles que les terres rares, le coltan, le diamant, l’or. Avec l’aide du Pasteur AMISSI Ahmirado, il les rassemble et leur dispense plusieurs formations importantes, en matière de stratégie avec des cours de planification pour les officiers supérieurs, et au niveau tactique avec des stages de leadership pour les sous-officiers, qui seront complétées par des exercices d’embuscade et de contre-embuscade intensifs, pour les combattants.

Quand il forme des armées populaires ou des forces d’opposition démocratiques, il a pour principale règle d’instaurer une discipline de fer dès la première minute de formation ; ce fut le cas pour toutes les formations dispensées aux combattants Maï-maï, qui de notoriété militaire sont réputés comme indisciplinés et désorganisés. Les participants étaient composés des factions suivantes : YAKUTUMBA, ZABULONI, MAYELE, NAKILIBA et DUNIA ».

Ces formations furent par ailleurs les premières de haut niveau apportées aux résistants nationalistes Maï-maï en RDC depuis 1994, c-à-d dès le début en des agressions perpétrées par le Rwanda sur les populations congolaises.

2011 Opération spéciale en Libye Modernisation et formations qualitatives (analyse, formation, planning)

Début 2011 Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama effectue une mission spéciale avec un ex-Colonel de la Légion Étrangère à Tripoli pour établir une collaboration avec les services de renseignement militaire libyen en vue de planifier anticipativement des opérations spéciales « chirurgicales » exécutées par des forces spéciales mixtes en réponse à un déséquilibre régional latent, pouvant dégénérer en guerres civiles multiples à répétition et en terrorisme d’opportunité d’inspiration criminelle. Malheureusement, peu de temps après le Guide de la Révolution Mouammar Mohammed Abu Minyar Kadhafi sera capturé par des rebelles et tué le 20 octobre à quelques kilomètres de Syrte et le projet fut arrêté.

2011-2012 Projet de protection animalière au Gabon Anti-braconnage d’éléphants et lutte contre les crimes transversaux (intelligence, analyse, stratégie, programme, organisation, planning, formation)

Mi-2001, le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama fait la rencontre à Libreville du le Directeur de l’ANPN, le Professeur Lee WHITE dans le cadre d’un projet pour lutter contre le braconnage.

Le Professeur Lee WHITE lui propose alors un contrat de consultance pour réaliser une analyse des stratégies et des modus operandi pratiqués par les groupes de braconniers professionnels qui massacrent les éléphants dans les Parcs Nationaux du Gabon et de la sous-région, avec des moyens militaires conséquents (hélicoptère, détecteur de chaleur, visée nocturne, tireur d’élite, pisteur, équipe de découpage) afin de s’approprier leurs défenses.

 

Étant une sommité reconnue par tous les gouvernements et tous les experts de pachydermes, il partagea énormément de connaissances avec le Commandant François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama, afin de l’aider à conceptualiser un projet global de protection qualitatif, et incluant les méthodes non létales et respectueuses de l’écologie pour gérer les débordements des éléphants.

2013 Opération spéciale dans le nord-ouest de la Centrafrique Libération et protection des populations massacrées par les milices Seleka et Anti-balaka (intelligence, programme, organisation, planning, formation, stratégie)

Durant les « Accords de paix de Libreville » concernant la guerre civile en Centrafrique, qui se déroulèrent du 10 au 11 janvier 2013 au Gabon ; le leader Armel SAYO a préféré ne pas les signer, n’étant pas convaincu de la bonne foi et de la volonté des différentes parties signataires, afin de rester un observateur neutre quelque temps.

1. Décision

L’accord contractuel, passé peu de temps après la signature des dits accords, entre le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO Président de Révolution Justice et le Général de Division François TOUSSAINT – KALONDA Omanyama (Général Div. FT-KO), pour monter une action armée en vue de secourir les populations massacrées en Centrafrique, s’est fait à Douala au Cameroun en février 2013, et sera concrétisé le 12 août 2013, après quelques mois de planification sous la forme de l’opération majeure « SARAYO ».

En 2013, avant d’aller sur le terrain, le Général Div. FT-KO réalisa entièrement la conceptualisation politique et la création effective du mouvement paramilitaire Révolution Justice, et conseille le Président du mouvement le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO sur la ligne de conduite à tenir pour lutter contre le terrorisme rampant en RCA durant leur séjour à Douala au Cameroun.

2. Démarrage

L’opération « SARAYO » démarre à la frontière entre le Cameroun et la Centrafrique le 01 novembre 2013, le Président Armel SAYO et le Général Div. FT-KO pénètre clandestinement la nuit du 01 au 02 novembre 2013 en Centrafrique par la frontière du Cameroun avec deux pisteurs/chasseurs et une section minimale de six militaires aguerris.

Après 2 semaines de progression de nuit au milieu des zones extrêmement dangereuses et contrôlées par des groupes rebelles ou des bandes armées criminelles, ils atteignent un site intéressant dans un environnement défendable où, le Général Div. FT-KO établit le premier camp d’entraînement mi-novembre à proximité de la ville de Paoua dans la région de Boloum.

Des hommes et femmes de toutes confessions, ainsi que des membres des FACA (Forces Armées Centrafricaines) ont rejoint en masse le centre de recrutement.

Le Général Div. FT-KO s’illustre comme le premier contractant occidental dans le conflit en Centrafrique pour protéger les communautés chrétiennes massacrées par les milices de la Seleka.

3. Formations

Le Général Div. FT-KO instruira seul les forces de Révolution Justice à Paoua en Centrafrique du 11-2013 au 02-2014, sa principale règle c’est d’instaurer immédiatement une discipline de fer pour garantir des résultats significatifs en un temps minimal, dans une vidéo sur internet (nommée : RJ RCA1 postée en date du 01-01-2014) on découvre la remise du premier bataillon (très discipliné et motivé malgré une faible logistique) qu’il a formé au leader du mouvement, le Président de R-J, le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO lors d’un levé du drapeau de R-J ; et en un temps record grâce à l’entraînement quotidien intensif et son implication personnelle dans tous les entraînements de combat il termine en décembre 2013 la formation du 1er régiment opérationnel incluant une compagnie autonome de Forces Spéciales prête à être déployée sur les différents fronts chauds de Révolution Justice.

La seconde phase des formations fut assurée par les premiers instructeurs qualifiés par le Général Div. FT-KO lui-même ; ils ont réalisé les formations de plusieurs bataillons d’infanterie dans plusieurs nouvelles bases réparties dans le nord-est de la Centrafrique, et entamé les présélections des candidats intéressants pour rejoindre et intégrer, après une formation spécifique, les Forces Spéciales basées à l’État-major.

Le Général Div. FT-KO a principalement dispensé des formations très strictes et ad hoc contre le terrorisme et ses crimes transversaux afin de développer en parallèle 2 compétences complémentaires, le contre-terrorisme et les opérations de sécurisation.

À cette fin, il développe un discours dialectique sur la lutte contre l’exoterrorisme en Centrafrique.

4. État-major

En parallèle de la formation des premiers bataillons d’infanterie et du bataillon des forces spéciales le Général Div. FT-KO sélectionna et forma rigoureusement son staff tactique (G3) aux bases du leadership et de la planification opérationnelle, la première promotion BEM fut composée de trois officiers supérieurs, le Colonel Waluba ESPILODJA† (tué le 14-08-2014 par un tir de la MISCA), le Colonel Luther BETUBAM et le Lieutenant-Colonel Raymond BELANGA (réunis dans cet ordre d’énumération à gauche du Général Div. FT-KO dans la première vidéo du magazine Jeune-Afrique) avec lesquels il planifia et réalisa toutes les opérations avec un énorme succès.

Le Général Div. FT-KO a aussi en tant que CEMA conceptualisé l’ensemble de la stratégie militaire, et conseillé politiquement le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO Président de Révolution Justice.

Le Général Div. FT-KO déclara devant des dignitaires en Centrafrique <… la finalité politique de R-J est de révolutionner les mentalités.>.

5. Opérations

La projection opérationnelle de R-J fût de mener ses premières opérations dans ce que l’ONU qualifiait de « zone rouge », c-à-d la surface de la République Centrafricaine qui s’étend du centre vers le nord et vers l’ouest qui représente presque 45 % du territoire national.

Sans l’initiative de R-J de sécuriser et stabiliser la « zone rouge » comme priorité opérationnelle, l’opération française « Sangaris » n’aurait pu être à ses débuts aussi fluide et efficace dans ses patrouilles dans le nord-ouest de la RCA.

Les actions de neutralisations de l’opération « SARAYO » sont planifiées par le Général Div. FT-KO pour le 24 décembre 2013 à 5 h du matin, il lâchera le détachement Alpha de la première promotion des forces spéciales dans la nuit du 23 au 24 à 23 h qui effectueront une speed-marche pour atteindre le premier objectif à 4 h 30 et lancer le premier raid à 5 h pile contre le premier groupe ennemi (la Séléka), qui c’est positionné dans la première des 3 villes stratégiques localisées en triangle : Bemal, Beboura 3, Paoua.

Cette opération d’envergure avec une planification complexe s’effectuera par 3 assauts éclair séquentiels des Forces-Spéciales de R-J sur ces 3 villes fortifiées dans un temps record de 11 heures avec zéro perte dans les rangs des forces spéciales de R-J, contrairement aux groupes rebelles qui totalisèrent une perte de 45 combattants selekas tués.

D’autres combats violents eurent lieu dans l’axe Boguila-Goré ainsi qu’à Sido sur l’axe Markounda-Bossangoa.

6. Intelligence

« Seul un traitement en profondeur et une parfaite collaboration, avec les centrafricains concernés,et conscients des menaces réelles et risques directs pourra donner un résultat concret et durable »

Citation du Général Div. FT-KO.

Actions d’intelligence réalisée par le Général Div. FT-KO

Il a théorisé et formulé l’ensemble du discours prononcé par le Président du mouvement, le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO sur la de la lutte contre le terrorisme repris dans une vidéo sur internet (nommée : RJ RCA2 ).

Il a balisé et guidé les négociations avec la MISCA ( Mission Internationale de Sécurité en Centrafrique / ONU) pour obtenir leur non-intervention, et non interposition, lors de l’assaut par les Forces Spéciales de RJ de la Ville de PAOUA afin de déloger les rebelles de la Seleka barricadés.

Il a obtenu une coopération logistique (apport de munitions et de rations opérationnelles) avec le détachement camerounais de la MISCA basé à PAOUA, dans la perspective de poursuivre et de traquer les dissidents rebelles refusant le désarmement en accord avec les pourparlers de paix.

Il a conceptualisé, planifié et organisé les entretiens avec une délégation de dirigeants tchadiens partisans d’une solution équitable et raisonnable dans la sous-région, dont plusieurs émissaires provenaient de la garde présidentielle du Président Idriss DEBY.

Il a initié la capture de 2 djihadistes de Boko Haram le 20-02-14 dans la ville de Sido localisée dans le nord  sur base d’un minutieux travail d’intelligence post-opération sur plusieurs villes conquises et a supervisé le travail d’analyse des premiers renseignements obtenus lors des interrogatoires des 2 djihadistes de Boko Haram qui ont clairement reconnu leur action subversive envers l’État de la RCA.

Il a ordonné de considérer les zones de combat comme des scènes d’investigation qui doivent faire l’objet de récolte attentive d’indices exploitables, ce qui permit la récolte de beaucoup d’indices d’activité terroriste, recueillis rapidement après les combats, et qui permit la mise au jour de la réelle nature des combats actuels et les guerres latentes en gestation dans la sous-région.

Il a communiqué aux médias et informé les populations de la présence significative de djihadistes de « Boko Haram » en RCA et de leur mixité avec certaines factions rebelles.

7.Politique

Le mouvement R-J ne se définit pas comme une rébellion, mais comme un mouvement révolutionnaire pleinement responsable, prêt à aider l’armée là ou l’État ne peut plus assumer ses prérogatives sécuritaires et militaires.

Les objectifs initiaux du Général Div. FT-KO furent de protéger les populations, et de sécuriser les activités économiques et rurales dans les préfectures du nord-ouest.

Sur le terrain ces « ces actions sécuritaires – impartiales – jouirent d’une très grande popularité auprès des notables locaux et autres responsables officiels des diverses communautés et populations.

Une fois les premiers objectifs atteints, le Général Div. FT-KO apporta 2 actions de supports auprès des populations : l’aide humanitaire et le génie civil.

Ces supports concrets de R-J aux différentes populations furent accueillis avec beaucoup de satisfaction.

Le spectre des missions d’intelligence de Révolution Justice défini par le Général Div. FT-KO comportait : échanges de renseignements, collecte ciblée de renseignements, infiltration de groupes cibles, sécurisation des frontières et des check-points critiques, gestion de zones tampons, filtrage systématique, arrestations à haut risque, neutralisation des criminels de guerre ou des terroristes en pleine adéquation des menaces terroristes identifiées dans plusieurs villes et frontières du nord et de l’est de la Centrafrique.

8.Dissolution

Jusqu’à son départ de R-J le 12-03-2014, le Général Div. FT-KO conçu et mena toutes les opérations avec brio, sa cessation de commandement démotiva l’ensemble de la force armée de R-J et provoqua une démission massive des milliers de soldats de R-J, qu’il avait personnellement formés et qualifiés.

Le Président du mouvement le Commandant Armel-Mingatoloum SAYO resta seul et démuni militairement, avec une force minimale de 60 hommes à la base de Gadoulou (sur l’axe entre les villes de Paoua et Beboura 3) en juin 2014.

Après avoir quitté R-J, le Général Div. FT-KO fut sollicité par les populations des localités de Beboye 1 et 2 pour développer une meilleure agriculture locale, en rationalisant les récoltes d’argan et les plantations de sésames ; ainsi que pour réaliser la reconstruction d’un aérodrome de campagne abandonné, qui fut aménagé il y a quelques décennies par un pasteur protestant et pour conceptualiser, et projeter la transformation d’un dispensaire médical délabré en hôpital organique de campagne.

9.Arrestation du Général Div. FT-KO par la MISCA, en vue son extradition vers la Belgique

Le Général Div. FT-KO est arrêté le 7 juillet 2014 à Bouar par la MISCA.

Directement transporté à l’aéroport de Bangui, la base de commandement de la MISCA, où il fût longuement interrogé dans les bureaux du renseignement de Interpol, par le Commandement de la composante police, de la MISCA, le Colonel Patrice OSTANGUE BENGONE de la Police gabonaise.

Le Général Div. FT-KO sera ensuite transféré à la Prison centrale de Ngaragba au centre de Bangui.

Le Général Div. FT-KO va dès son incarcération, être battu jusqu’à épuisement, par une vingtaine de détenus sur ordre du Directeur de la prison, avant d’être jeté dans un cachot de torture souterrain en terre nue, faisant 1,5 x 2 mètres de surface et 1 mètre de haut (interdisant ainsi la position debout) pendant 30 jours.

Durant cette durée, il fut battu et humilié tous les jours par les militaires du détachement de garde.

Ensuite, il fut déplacé dans une cellule de haute sécurité dans un bâtiment isolé où étaient détenus les officiers militaires et responsables politiques.

Lors de la mutinerie armée survenue en novembre 2014 à la Prison centrale de Ngaragba, le Général Div. FT-KO aurait pris une part active – voire probablement dirigé – la confrontation armée (les détenus s’étant emparés de plusieurs kalachnikovs, grenades et lance-roquettes RPG7) qui a durée 2 semaines ; durant lesquelles de violents combats entre les détenus révoltés (à cause des tortures permanentes, maltraitances physiques, et flagrantes violations de Droits de l’Homme) et l’unité militaire en poste, chargé de la sécurité du périmètre extérieure de la prison (en l’occurrence, c’était le contingent rwandais déployé dans le cadre de la « MISCA ». Ces combats ont provoqué des pertes significatives dans les rangs du contingent rwandais, qui ont eu pour effet la mise en place d’une négociation de fond sur l’amélioration des conditions de détention.

5.CONSULTANCE

Ces dernières années, il n’a pas été sollicité que pour des opérations sur terrain, plusieurs de ses missions furent purement intellectuelles ou analytiques.

  • Début 1997, l’ANR (Agence Nationale de Renseignement) lui confia, en sa qualité de Conseiller Sécurité au Vice-ministère de l’Intérieur, à la demande du Directeur Général Paul KABONGO, et par l’entremise du Conseiller politique de l’Agence la réalisation d’un audit qualitatif et d’une proposition d’orientation. Il termina et remit son dossier « ANR – Étude / Top Secret : Audit, Analyse, Vision, Orientation, Avantages » le 03-09-1997 au Comité GM attaché à la Présidence, à Kinshasa en RDC.
     

  • En 1998, il réalise, en sa qualité de Conseiller Sécurité au Vice-ministère de l’Intérieur, à la demande du Général John NUMBI un dossier complet pour créer une nouvelle unité. Ce dossier fut intitulé « P-POS (Présidence-Protection & Opération Spéciales) Unité chargée de l’Ordre Étatique – Antiterroriste, Antisabotage, Antisubversif – Dossier Top Secret ». Ce dossier fût réalisé en deux parties : 1) Dossier de présentation et 2) Charte opérationnelle.  
     

  • En 1999, il participe en tant que consultant free-lance à la rédaction technique du manuel officiel de Police en Afrique du Sud, intitulé le « Preventive Survival Tactic’s – Presenter’s Guide, South African Police Service ».

CHAPITRES THÉMATIQUES

introduction

Chronologie

Biographie

Cursus & expertise

R&D Sécuritaire et militaire

Polyvalence

Fonction Officielles

PENSÉE - CAUSES - PROCÈS

MÉDIAS & VIII. PUBLICATIONS

autres

PENSÉE - CAUSES - PROCÈS